Les personnes obèses courent un risque plus élevé de développer cancer, en partie parce que leurs cellules immunitaires anticancéreuses, mieux connues sous le nom de ' cellules tueuses naturelles (NK) ', sont rendues inefficaces par leur maladie.
Une nouvelle étude menée par le Dr Andrew Hogan et son équipe au Londsdale Health Institute de l'université de Maynooth a révélé que le traitement pharmacologique populaire et considéré comme la référence en matière d'obésité, à savoir les analogues du peptide de type glucagon (GLP-1), peut en réalité restaurer la fonction des cellules NK dans l'organisme, y compris leur capacité à tuer les cellules cancéreuses.
La recherche, publiée dans la revue Obesity, montre également que l'effet anticancéreux restauré des cellules NK est indépendant de la fonction principale de perte de poids du GLP-1, ce qui semble indiquer que le traitement active directement le moteur des cellules NK.
Ces résultats seront présentés lors du 30e Congrès européen sur l'obésité qui se tiendra à Dublin le 20 mai.
https://www.eurekalert.org/news-releases/988528#
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